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Repères - Histoire
Partie 1 • Le roman et le récit du Moyen Âge au XXIe siècle
L’épopée antique et la chanson de geste
La fin’amor et les romans de chevalerie
Récits comiques médiévaux et humanistes
Fictions baroques
Le classicisme
Les romans épistolaires
Le romantisme
Le réalisme
Le naturalisme
Les récits de guerre
L’exploration de la conscience
Interroger l’existence humaine
Le Nouveau Roman
Les récits de vie
Partie 2 • La littérature d’idées du XVIe au XVIIIe siècle
L’humanisme à la Renaissance
Le baroque
Le libertinage
Les moralistes de l’époque classique
Les philosophes des Lumières
Partie 3 • Le théâtre du XVIIe au XXIe siècle
Le théâtre baroque
La tragédie classique
La comédie classique
Le théâtre au siècle des Lumières
Le drame romantique et le théâtre de boulevard
Les réécritures des mythes antiques
Du théâtre de la cruauté au théâtre de l’absurde
Le théâtre engagé
Les nouvelles formes de théâtre
Partie 4 • La poésie du XIXe au XXIe siècle
La poésie romantique
Le Parnasse
Les poètes maudits
Le symbolisme
Le surréalisme et l’OuLiPo
La poésie engagée : Résistance, négritude, créolité
La poésie contemporaine
Pour aller plus loin
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Annexe

Glossaire

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A
Accumulation : (figure de style) énumération d'éléments appartenant à une même catégorie, pour créer un effet d'amplification.

Alexandrin : vers de douze syllabes, composé de deux hémistiches de six syllabes avec une césure (pause) à la sixième syllabe.

Allégorie : (figure de style) procédé qui consiste à donner un visage ou un aspect concret à une idée abstraite. → Marianne est l'allégorie de la France.

Allitération : (figure de style) répétition d'un son consonantique (consonne).

Anacoluthe : discontinuité dans la syntaxe d'une phrase.

Analepse : retour en arrière.

Anaphore : (figure de style) répétition d'un mot ou d'une expression en début de vers, de groupe de mots, de proposition ou de phrase.

Antihéros ou antihéroïne personnage qui n'a pas les caractéristiques d'un héros traditionnel (le courage, l'intelligence, l'accomplissement d'exploits, etc.).

Antiphrase : (figure de style) phase ironique qui dit le contraire de ce qu'elle laisse entendre (voir Ironie).

Antithèse : (figure de style) rapprochement de deux éléments opposés.

Aparté : (nom masc.) au théâtre, réplique prononcée « à part » par le comédien, pour lui‑même ou certains autres personnages.

Apologie : discours qui défend une personne ou une doctrine.

Apologue : court récit allégorique à but didactique.

Apostrophe : figure de rhétorique par laquelle l'orateur interpelle directement une personne ou une chose personnifiée.

Assonance : (figure de style) répétition d'un son vocalique (voyelle).

Auteur ou Autrice : personne réelle qui a écrit un livre (à ne pas confondre avec le Narrateur ou la Narratrice ).
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B
Bienséance : règle du théâtre classique selon laquelle rien de choquant ne doit être montré sur scène (mort, violence, combats).

Blason : poème faisant l'éloge d'une partie du corps.
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C
Calligramme : poème écrit de manière à ce que le texte forme un dessin.

Catharsis : purgation des passions (terreur et pitié) du spectateur par la tragédie (Aristote).

Césure : coupe à l'intérieur d'un vers, après une syllabe accentuée. Dans la poésie classique, on utilise des césures à l'hémistiche (voir Hémistiche).

Champ lexical : ensemble de mots qui se rapportent à un même thème.

Chanson de geste : épopée du Moyen Âge relatant les exploits d'un héros ou d'une héroïne.

Chiasme : (figure de style) construction en miroir (AB/BA) qui crée un effet de symétrie.

Chute : fin inattendue dans un poème ou une nouvelle.

Comédie : genre théâtral qui a pour but de faire rire.

Comique : qui fait rire. On distingue différents types de comique (mot, geste, caractère, situation, répétition).

Commedia dell'arte : comédie populaire venue d'Italie au XVIe siècle utilisant des personnages‑types : Arlequin, Colombine, etc.

Comparaison : (figure de style) procédé qui consiste à rapprocher deux éléments (le comparé et le comparant) à l'aide d'un outil de comparaison (comme, tel que, etc.) (voir Métaphore).

Concession : fait d'admettre en partie la thèse adverse pour mieux la réfuter ensuite.

Connecteur logique : terme qui établit un lien logique (cause, conséquence, but, etc.) entre deux énoncés. Il souligne la cohérence du texte argumentatif.

Connotation : sens qui vient s'ajouter au sens premier d'un mot (voir Dénotation).

Contre‑rejet : en poésie, groupe syntaxique qui débute à la fin d'un vers et se poursuit sur le suivant (voir Rejet, Enjambement).

Convaincre : chercher à emporter l'adhésion de l'interlocuteur ou de l'interlocutrice à l'aide d'arguments logiques, rationnels (voir Persuader).

Coup de théâtre : élément imprévu qui bouleverse la situation en créant un effet de surprise.
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D
Décasyllabe : vers de dix syllabes.

Déduction : raisonnement partant d'une vérité générale pour démontrer des conséquences particulières (voir Induction).

Délibération : fait de peser le pour et le contre pour prendre une décision.

Dénotation : sens premier d'un mot, tel qu'il apparait dans le dictionnaire (voir Connotation).

Dénouement : résolution du nœud de l'intrigue.

Dérivation : procédé de formation des mots par ajout de préfixes et/ou de suffixes (voir Préfixe, Suffixe).

Destinataire : personne(s) à qui l'on s'adresse.

Deus ex machina : évènement imprévu qui permet le dénouement. Ce procédé s'éloigne de la vraisemblance mais, par convention, ne nuit pas à la crédibilité de l'intrigue.

Diatribe : critique violente d'une œuvre ou d'une idée.

Didactique : qui vise à enseigner.

Didascalie : dans un texte théâtral, indication portant sur le jeu des comédien(ne)s (gestes, déplacements, attitudes, intonations) ou le décor. Elle est destinée au metteur ou à la metteuse en scène, aux comédien(ne)s et au lectorat.

Diérèse : syllabe contenant habituellement deux sons vocaliques, divisée pour compter pour deux syllabes. → li‑on (voir Synérèse).

Digression : développement qui s'écarte du sujet.

Dilemme : choix impossible entre deux propositions contraires ou contradictoires.

Discours direct : propos rapportés tels qu'ils auraient pu être formulés oralement (ponctuation du dialogue).

Discours indirect : propos rapportés dans une proposition subordonnée.

Discours indirect libre : propos reformulés par le narrateur ou la narratrice et rapportés sans marque de subordination ni verbe introducteur.

Discours rapporté : transcription des paroles dites par une autre personne. Le discours peut être reproduit tel quel (voir Discours direct), retranscrit par la subordination (voir Discours indirect) ou rapporté de façon intermédiaire (voir Discours indirect libre).

Distique : strophe de deux vers.

Dizain : strophe de dix vers.

Double énonciation : au théâtre ou dans un roman épistolaire, prise de parole s'adressant à un autre personnage et, en même temps, au public ou au lectorat.

Dramatique : qui concerne l'action théâtrale.

Drame romantique : pièce de théâtre mêlant le grotesque et le sublime et dont l'intrigue est historique.

Dystopie : récit qui dépeint un monde fictif terrifiant, soulignant les dangers de notre société (voir Utopie).
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E
Ellipse : dans un récit, fait de passer sous silence certains évènements par un saut dans le temps.

Épopée : long poème qui raconte les exploits de héros légendaires.

Enjambement : en poésie, débordement d'un groupe syntaxique sur le vers suivant de façon symétrique (voir Rejet, Contre‑rejet).

Épidictique : registre qui concerne l'éloge ou le blâme.

Éponyme : adjectif pour qualifer un personnage donnant son nom à l'œuvre. → Dom Juan

Essai : ouvrage dans lequel l'auteur ou l'autrice partage ses réflexions.

Ethos : façon dont le locuteur ou la locutrice se présente à travers son discours..

Excipit (Explicit) : fin du récit.

Exposition : première(s) scène(s) d'une pièce de théâtre qui donne(nt) au public les informations essentielles pour comprendre l'intrigue.

Externe : (focalisation) fait de raconter de manière neutre, sans avoir accès à l'intériorité des personnages.
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F
Fable : court récit, souvent en vers, qui illustre une moralité.

Fabuliste : auteur ou autrice de fables.

Focalisation : œil au travers duquel on raconte le récit (voir Externe, Interne, Omniscient).
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G
Genre littéraire : qui détermine la forme d'écriture (récit, théâtre, poésie, argumentation).
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H
Hémistiche : moitié d'un vers.

Hétérométrique : poème dont tous les vers n'ont pas le même nombre de syllabes (voir Isométrique).

Hyperbole : (figure de style) exagération, amplification de la réalité.
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L
Leitmotiv : thème qui revient tout au long d'une œuvre.

Litote : (figure de style) procédé qui vise à minimiser la réalité en utilisant une négation. → Va, je ne te hais point (Corneille, Le Cid).

Lyrisme : registre s'appuyant sur l'expression des sentiments personnels, à la première personne.
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I
Implicite : qui n'est pas exprimé clairement, qui est sousentendu. Contraire : explicite.

Incipit : début du récit.

Interne : (focalisation) fait de raconter à travers les yeux d'un seul personnage.

Induction : raisonnement partant d'un cas particulier pour trouver une vérité générale (voir Déduction).

Isométrique : poème dont tous les vers ont le même nombre de syllabes (voir Hétérométrique).

In medias res : début d'un récit au milieu d'une action ou d'un dialogue, sans introduction ni présentation des personnages et du contexte.

Intrigue : ensemble des événements qui forment l'action d'une pièce de théâtre.

Ironie : procédé par lequel on dit le contraire de ce que l'on pense, dans le but de se moquer (voir Antiphrase).

Ironie dramatique : situation dans laquelle certains personnages ignorent une information importante que le public ou le lectorat possède.

Ironie tragique : au théâtre, situation dans laquelle un personnage croit agir pour son bien, alors qu'il précipite sa perte.
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M
Maxime : texte court qui exprime une idée avec concision.

Mélodrame : pièce pathétique utilisant des effets scéniques spectaculaires (XIXe siècle).

Métaphore : (figure de style) association de deux réalités sans élément de comparaison.
→ Le train serpente entre les montagnes. (Métaphore)
→ Le train avance comme un serpent entre les montagnes. (Comparaison)

Métonymie : (figure de style) procédé qui remplace un élément par un autre ayant un lien logique avec lui (la matière pour l'objet, l'auteur(rice) pour l'œuvre, etc.).

Mimesis : imitation du réel (Aristote).

Mise en abyme : représentation, dans l'œuvre, d'une image de l'œuvre.
→ un livre dans un livre, une image dans une image, etc.

Modalisation : ensemble de procédés qui marquent un jugement de l'énonciateur ou énonciatrice.

Moralité : enseignement à tirer d'une fable.

Monologue : tirade dans laquelle le personnage se parle à lui‑même, seul sur scène.

Mot composé : mot complexe, formé de plusieurs radicaux.

Mot dérivé : mot complexe formé par l'ajout de préfixes et/ou de suffixes à un radical (voir Préfixe, Suffixe).

Mythe : récit légendaire ayant une signification symbolique, qui met en scène des héros et des héroïnes ainsi que des dieux et des déesses.
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N
Narrateur ou narratrice : personnage qui raconte l'histoire (à ne pas confondre avec l' Auteur ou l'Autrice ). On distingue le narrateur interne (un personnage du récit) du narrateur extérieur au récit.

Nœud : dans une pièce de théâtre, moment de l'intrigue où la tension est à son comble (avant le Dénouement).
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O
Ode : éloge poétique adressé à la personne ou à la chose que l'on célèbre.

Objection : argument qui contredit l'argumentation de l'interlocuteur ou interlocutrice.

Octosyllabe : vers de huit syllabes.

Oxymore (nom masc.) : (figure de style) rapprochement de deux termes opposés dans un groupe de mots. → Une obscure clarté (Corneille, Le Cid).

Omniscient(e) : (focalisation) fait de raconter en connaissant tout d'une scène, parfois plus que les personnages.
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P
Pathétique : tonalité qui suscite la pitié.

Pamphlet : écrit polémique et virulent, souvent satirique.

Pause : description ou commentaire qui suspend le récit.

Périphrase : (figure de style) remplacement d'un élément par une expression.

Personnification : (figure de style) fait de donner des caractéristiques humaines à un élément non humain.

Persuader : chercher à emporter l'adhésion de l'interlocuteur en utilisant les émotions (voir Convaincre).

Plaidoyer : discours pour défendre une personne ou une idée.

Poème en prose : inventé au XIXe siècle, poème sans vers ni rimes qui suscite un effet poétique par son travail sur les sonorités.

Polémique : tonalité qui critique violemment une thèse, une idée ou une personne.

Prétérition : (figure de style) énonciation de quelque chose alors qu'on vient d'annoncer qu'on n'allait pas en parler. → Je ne parlerai pas de M., cet homme ignoble qui a...

Préfixe : élément placé avant le radical pour former un mot dérivé (voir Suffixe, Dérivation).

Prolepse : anticipation sur les évènements futurs.
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Q
Quatrain : strophe de quatre vers.

Question rhétorique : (figure de style) fausse question dont la réponse est évidente ou implicite. Elle a une valeur argumentative.

Quintil : strophe de cinq vers.
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R
Radical : noyau d'un mot, auquel peuvent se greffer les suffixes et les préfixes (voir Préfixe, Suffixe).

Réfuter : nier une thèse, montrer qu'elle ne fonctionne pas.

Rejet : en poésie, groupe syntaxique qui se termine au début du vers suivant (voir Contre‑rejet, Enjambement).

Réplique : intervention d'un personnage dans le cadre d'un dialogue théâtral.

Réquisitoire : discours pour prouver la culpabilité de quelqu'un ou l'absence de valeur d'une thèse.

Rhétorique : art de s'exprimer, d'organiser son discours.

Rime féminine : rime terminée par un « e ».

Rime masculine : rime terminée par une lettre autre qu'un « e ».
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S
Satire : critique pour dénoncer les vices et les ridicules.

Scène : 1. Au théâtre, partie du texte délimitée par l'entrée ou la sortie d'un personnage. 2. Dans un récit, épisode dans lequel le temps de la fiction est égal au temps de la narration (sorte de « temps réel »).

Situation d'énonciation : contexte de production d'un énoncé (qui parle? à qui ? où ? quand ? pourquoi ?).

Sizain : strophe de six vers.

Sommaire : résumé des évènements. Il permet d'accélérer le rythme du récit.

Sonnet : forme poétique fixe composée de deux quatrains et de deux tercets. D'origine italienne, il est notamment adopté par les poètes et les poétesses de la Renaissance.

Stances : strophes poétiques organisées de façon similaire, à la tonalité lyrique ou élégiaque. → les stances d'Hylas dans L'Astrée ()

Stichomythie : au théâtre, enchainement de répliques courtes qui dynamisent le dialogue, souvent dans une dispute, un conflit.

Suffixe : élément placé après le radical pour former un mot dérivé (voir Préfixe, Radical, Dérivation).

Synecdoque : (figure de style) remplacement d'un élément par un autre ayant un rapport d'inclusion avec lui (le tout pour la partie ou inversement).

Synérèse : fait de prononcer deux sons vocaliques en une seule syllabe. → lion ≠ li‑on (voir Diérèse).
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T
Tercet : strophe de trois vers.

Thèse : en argumentation, idée principale que l'on défend.

Tirade : longue réplique dans un dialogue, au théâtre.

Tonalité : procédés qui provoquent un effet sur le lectorat ou le public (comique, tragique, pathétique, etc.).

Topos : motif littéraire ou artistique traditionnel (pluriel : topoï). → le topos de la rencontre amoureuse

Tragédie : genre théâtral qui remonte à l'Antiquité grecque et qui met en scène des personnages de rang élevé aux prises avec un destin funeste.

Tragique : qualifie un texte dans lequel les personnages sont condamnés par la fatalité.

Tragi-comédie : genre théâtral entre la comédie et la tragédie puisque la nature du conflit est tragique, que les personnages sont nobles, mais que le dénouement est heureux. → Le Cid de Pierre Corneille.

Type de phrase : interrogative, injonctive, ou déclarative. Le type exclamatif peut s'ajouter à un autre type.
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U
Unités (règle des trois unités) : au théâtre, unité d'action, de temps (un jour) et de lieu. (voir .)

Utopie : récit imaginant une société idéale, et critiquant en creux la société réelle (voir Dystopie).
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V
Vaudeville : pièce mettant en scène des adultères avec de nombreux rebondissements et quiproquos (XIXe siècle).

Vers libre : inventé à la fin du XIXe siècle, vers qui ne se repère que par le retour à la ligne, sans décompte des syllabes.

Visée : intention, but poursuivi par l'auteur ou l'autrice dans une œuvre.

Vraisemblance : règle du théâtre classique qui désigne ce qui pourrait exister dans la réalité, ce qui est crédible.

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