La pièce est entièrement écrite en alexandrins, des vers de 12 syllabes, à l'exception des stances de Rodrigue (Acte I, scène 6) et de l'Infante (Acte V, scène 2). Corneille utilise

des rimes plates

« Ja/mais/ nous/ ne/ goû/tons /de /par/fai/te a/llé/gresse :
Nos /plus /heu/reux/ su/ccès /sont /mê/lés /de/ tris/tesse »
1    2     3    4    5   6     7    8   9   10  11    12

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L'organisation interne des vers

La césure est une légère pause au milieu d'un vers. Elle sépare le vers en deux moitiés de 6 syllabes : les hémistiches.

« Ma plus douce espérance // est de perdre l'espoir. »
	↑                 ↑          ↑
  hémistiche 1        césure      hémistiche 2

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Question 1

Dans les vers suivants, séparez chaque syllabe (/), repérez la césure (//) et repérez les hémistiches.

« Ainsi que ces amants ayant formé les chaînes, Je dois prendre intérêt à voir finir leurs peines. »

« À qui venge son père il n'est rien d'impossible. »

« Quoi ? du sang de Rodrigue encor toute trempée. »

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Les figures de style

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Question 2

Associez chaque extrait du Cid à la figure de style employée.

Une

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