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Glossaire

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A
Accumulation figure de style : énumération d'éléments appartenant à une même catégorie, pour créer un effet d'amplification.

Alexandrin :  vers de douze syllabes, composé de deux hémistiches de six syllabes avec une césure (pause) à la sixième syllabe. (voir p. 488)

Allégorie figure de style : consiste à donner un visage ou un aspect concret à une réalité abstraite. → Marianne est l'allégorie de la France. (voir p. 484)

Allitération figure de style : répétition d'un son consonne. (voir p. 484)

Anacoluthe :  discontinuité dans la syntaxe d'une phrase.

Analepse :  retour en arrière. (voir p. 484)

Anaphore figure de style : répétition d'un mot ou d'une expression en début de vers, de groupe de mots, de proposition ou de phrase. (voir p. 486)

Antihéros :  personnage qui n'a pas les caractéristiques d'un héros traditionnel (le courage, l'intelligence, l'accomplissement d'exploits, etc.).

Antiphrase :  phase ironique qui dit le contraire de ce qu'elle laisse entendre (voir Ironie). (voir p. 486)

Antithèse figure de style : rapprochement de deux éléments opposés. (voir p. 484)

Aparté :  (nom masc.) au théâtre, réplique prononcée « à part », pour lui-même ou certains autres personnages.

Apologie :  discours qui défend une personne ou une doctrine.

Apologue :  court récit allégorique à but didactique. (voir p. 528)

Apostrophe :  figure de rhétorique par laquelle l'orateur interpelle directement une personne ou une chose personnifiée.

Assonance figure de style : répétition d'un son vocalique (voyelle). (voir p. 486)

Auteur(e) :  personne réelle qui a écrit un livre (à ne pas confondre avec le Narrateur).

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B
Ballade :  forme poétique médiévale composée de trois strophes (ou plus), d'un refrain et d'un envoi.

Bienséance :  règle du théâtre classique selon laquelle rien de choquant ne doit être montré sur scène (mort, violence, combats).

Blason :  poème faisant l'éloge d'une partie du corps.
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D
Décasyllabe : vers de dix syllabes. (voir p.488)

Déduction : raisonnement partant d'une vérité générale pour démontrer des conséquences particulières (voir Induction).

Délibération : peser le pour et le contre pour prendre une décision. (voir p.534)

Dénotation : sens premier d'un mot, tel qu'il apparaît dans le dictionnaire (voir Connotation). (voir p.450)

Dénouement : résolution du nœud de l'intrigue.

Dérivation : procédé de formation des mots par ajout de préfixes et/ou de suffixes. (voir p.451)

Destinataire : personne(s) à qui l'on s'adresse.

Deus ex machina : événement imprévu qui permet le dénouement. Ce procédé s'éloigne de la vraisemblance mais, par convention, ne nuit pas à la crédibilité de l'intrigue.

Diatribe : critique violente d'une œuvre ou d'une idée.

Didactique : qui vise à enseigner.

Didascalie : dans un texte théâtral, indication portant sur le jeu des acteurs (gestes, déplacements, attitudes, intonations) ou le décor. Elles sont destinées au metteur en scène, aux comédiens et au lecteur.

Diérèse : une syllabe contenant habituellement deux sons vocaliques, divisée pour compter pour deux syllabes. (voir p.488)

Digression : développement qui s'écarte du sujet.

Dilemme : choix impossible entre deux propositions contraires ou contradictoires.

Discours direct : propos rapportés tels qu'ils auraient pu être formulés oralement (ponctuation du dialogue).(voir p.514)

Discours indirect : propos rapportés dans une proposition subordonnée. (voir p.514)

Discours indirect libre : propos reformulés par le narrateur et rapportés sans marque de subordination ni verbe introducteur. (voir p.514)

Discours rapporté : transcription des paroles dites par une autre personne. Le discours peut être reproduit tel quel (voir discours direct), retranscrit par la subordination (voir discours indirect) ou rapporté de façon intermédiaire (voir discours indirect libre).

Distique : strophe de deux vers. (voir p.488)

Dizain : strophe de dix vers.

Double énonciation : au théâtre ou dans un roman épistolaire, le fait que la prise de parole s'adresse à un autre personnage et, en même temps, au public ou aux lecteurs. (voir p.498)

Dramatique : qui concerne l'action théâtrale.

Drame romantique : pièce de théâtre mêlant le grotesque et le sublime, dont l'intrigue est historique.
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C
Calligramme :  poème écrit de manière à ce que le texte forme un dessin.

Catharsis :  purgation des passions (terreur et pitié) du spectateur par la tragédie (Aristote).

Césure :  coupe à l'intérieur d'un vers, après une syllabe accentuée. Dans la poésie classique, on utilise des césures à l'hémistiche (voir Hémistiche).

Champ lexical :  ensemble de mots qui se rapportent à un même thème.

Chanson de geste :  épopée du Moyen- ge relatant les exploits d'un héros.

Chiasme figure de style :  une construction en miroir (AB/BA) qui crée un effet de symétrie.

Chute :  fin inattendue dans un poème ou une nouvelle. (voir p.486)

Comédie :  genre théâtral qui a pour but de faire rire.

Comique :  qui fait rire. On distingue différents types de comique (voir p.506).

 Commedia dell'arte:  comédie populaire venue d'Italie au XVIe siècle, utilisant des personnages-types : Arlequin, Colombine, etc.

Comparaison figure de style :  procédé qui consiste à rapprocher deux éléments (le comparé et le comparant) à l'aide d'un outil de comparaison (comme, tel que, etc.)

Concession :  admettre en partie la thèse adverse pour mieux la réfuter ensuite.(voir p.530)

Connecteur logique :  terme qui établit un lien logique (cause, conséquence, but, etc.) entre deux énoncés. Il souligne la cohérence du texte argumentatif.

Connotation :  sens qui vient s'ajouter au sens premier d'un mot (voir Dénotation). (voir p.530)

Contre-rejet :  en poésie, lorsqu'un groupe syntaxique débute à la fin d'un vers et se poursuit sur le suivant (voir Rejet, Enjambement). (voir p.450)

Convaincre :  chercher à emporter l'adhésion de l'interlocuteur à l'aide d'arguments logiques, rationnels (voir Persuader).

Coup de théâtre :  élément imprévu qui bouleverse la situation en créant un effet de surprise.
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E
Ellipse : dans un récit, fait de passer sous silence certains évènements par un saut dans le temps. (voir p.516)

Épopée : long poème qui raconte les exploits de héros légendaires.

Enjambement : en poésie, lorsqu'un groupe syntaxique déborde sur le vers suivant de façon symétrique. (voir Rejet, Contre-rejet) (voir p.490)

Épidictique : registre qui concerne l'éloge ou le blâme.

Éponyme : adjectif pour qualifier un personnage donnant son nom à l'œuvre. → Dom Juan

Excipit (ou Explicit) : fin du récit.

Exposition : premières scènes d'une pièce de théâtre qui donnent les informations essentielles au spectateur pour comprendre l'intrigue.

Externe (focalisation) : raconter de manière neutre, sans avoir accès à l'intériorité des personnages. (voir p.512)
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F
Fable : court récit, souvent en vers, qui illustre une moralité.

Fabuliste : auteur de fables.

Farce : genre théâtral du Moyen ge qui désigne de courtes comédies populaires.

Focalisation : œil au travers duquel on raconte le récit (voir Externe, Interne, Omniscient). (voir p.512)
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G
Genre littéraire : qui détermine la forme d'écriture (récit, théâtre, poésie, argumentation).
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H
Hémistiche : moitié d'un vers.

Hyperbole figure de style : exagération, amplification de la réalité. (voir p.486)
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I
Implicite : qui n'est pas exprimé clairement, qui est sousentendu. Contraire : explicite.

Incipit : début du récit.

Interne (focalisation) : raconter à travers les yeux d'un seul personnage. (voir p.512)

Induction : raisonnement partant d'un cas particulier pour trouver une vérité générale. (voir p.526)

In medias res : début d'un récit au milieu d'une action ou d'un dialogue, sans introduction ou présentation des personnages et du contexte.

Intrigue : ensemble des événements qui forment l'action d'une pièce de théâtre.

Ironie : dire le contraire de ce que l'on pense, dans le but de se moquer. (voir Antiphrase)

Ironie dramatique : certains personnages ignorent une information importante que le public ou le lecteur possède.

Ironie tragique : au théâtre, un personnage croit agir pour son bien, mais il précipite sa perte.
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N
Narrateur : personnage fictif qui raconte l'histoire (à ne pas confondre avec l'auteur). On distingue le narrateur interne (un personnage du récit) du narrateur extérieur au récit. (voir p.512)

Nœud : dans une pièce de théâtre, moment de l'intrigue où la tension est à son comble (avant le dénouement).
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O
Ode : éloge poétique adressé à la personne ou à la chose que l'on célèbre.

Objection : argument qui contredit l'argumentation de l'interlocuteur.

Octosyllabe : vers de huit syllabes. (voir p.488)

Oxymore figure de style : (nom masc.) rapprochement de deux termes opposés dans un groupe de mots. → Une obscure clarté (Corneille, Le Cid) (voir p.484)

Omniscient(e) (focalisation) : raconter en connaissant tout d'une scène, voire plus que les personnages. (voir p.512)
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L
Leitmotiv : thème qui revient tout au long d'une œuvre.

Litote figure de style : minimiser la réalité en utilisant une négation. → Va, je ne te hais point. (Corneille, Le Cid) (voir p.486)

Lyrisme : registre s'appuyant sur l'expression des sentiments personnels, à la première personne. (voir p.492)
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M
Métaphore figure de style : association de deux réalités sans élément de comparaison. (voir p.484)
→ Le train serpente entre les montagnes. (Métaphore)
→ Le train avance comme un serpent entre les montagnes. (Comparaison)

Métonymie figure de style : remplace un élément par un autre ayant un lien logique avec lui (la matière pour l'objet, l'auteur pour l'œuvre, etc.). (voir p.484)

Mimesis : imitation du réel (Aristote).

Mise en abyme : représenter, dans l'œuvre, une image de l'œuvre. → un livre dans un livre, une image dans une image, etc.

Modalisation : ensemble de procédés qui marquent un jugement de l'énonciateur. (voir p.532)

Moralité : enseignement à tirer d'une fable.

Monologue : tirade dans laquelle le personnage se parle à lui-même, seul sur scène.

Mot composé : mot complexe, formé de plusieurs radicaux. (voir p.451)

Mot dérivé : mot complexe formé par l'ajout de préfixes et/ou suffixes à un radical. (voir p.451)

Mythe : récit légendaire ayant une signification symbolique, qui met en scène des héros et des dieux.
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P
Pathétique : tonalité qui suscite la pitié. (voir p.492, 506 et 536)

Pamphlet : écrit polémique et virulent.

Pause : description ou commentaire qui suspend le récit. (voir p.516)

Périphrase figure de style : remplace un élément par une expression.

Personnification figure de style : donne des caractéristiques humaines à un élément non-humain (voir p.484).

Persuader : chercher à emporter l'adhésion de l'interlocuteur en utilisant les émotions (voir Convaincre). (voir p.534)

Plaidoyer : discours pour défendre une personne ou une idée.

Polémique : tonalité qui critique violemment une thèse, une idée ou une personne. (voir p.536)

Prétérition : parler de quelque chose alors qu'on vient d'annoncer qu'on n'allait pas en parler. → Je ne parlerai pas de M., cet homme ignoble qui a…

Préfixe : élément placé avant le radical pour former un mot dérivé (voir Suffixe, Dérivation) (voir p.451)

Prolepse : anticipation sur les événements futurs. (voir p.516) 586
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Q
Quatrain : strophe de quatre vers. (voir p.490)

Question rhétorique figure de style : fausse question dont la réponse est évidente ou implicite. Elle a une grande valeur argumentative.(voir p.486)

Quintil : strophe de cinq vers. (voir p.490)
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R
Radical : noyau d'un mot, auquel peuvent se greffer les suffixes et les préfixes. (voir p.451)

Réfuter : nier une thèse, montrer qu'elle ne fonctionne pas.

Rejet : en poésie, quand un groupe syntaxique se termine au début du vers suivant (voir Contre-rejet, Enjambement). (voir p.490)

Réplique : intervention d'un personnage dans le cadre d'un dialogue théâtral.

Réquisitoire : discours pour prouver la culpabilité de quelqu'un ou l'absence de valeur d'une thèse.

Rhétorique : art de s'exprimer, d'organiser son discours.

Rime féminine : rime terminée par un « e ».

Rime masculine : rime terminée par une lettre autre qu'un « e ».

Rondeau : forme poétique fixe du Moyen ge composée de trois strophes et d'un refrain.
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S
Satire : critique pour dénoncer les vices et les ridicules.

Scène : 1. Au théâtre, partie du texte délimitée par l'entrée ou la sortie d'un personnage.
2. Dans un récit, épisode dans lequel le temps de la fiction est égal au temps de la narration (sorte de « temps réel »).(voir p.516)

Situation d'énonciation : contexte de production d'un énoncé (qui parle ? à qui ? où ? quand ? pourquoi ?). (voir p.510)

Sizain : strophe de six vers. (voir p.490)

Sommaire : résumé des événements. Il permet d'accélérer le rythme du récit.(voir p.516)

Sonnet : forme poétique fixe composée de deux quatrains et de deux tercets. D'origine italienne, il est adopté notamment par les poètes de la Renaissance. (voir p.490)

Stichomythie : au théâtre, enchaînement de répliques courtes.

Suffixe : élément placé après le radical pour former un mot dérivé (voir Préfixe). (voir p.451)

Synecdoque figure de style :> remplace un élément par un autre ayant un rapport d'inclusion avec lui : le tout pour la partie ou inversement.

Synérèse : prononcer deux sons vocaliques en une seule syllabe.
→ lion ≠ li-on (voir Diérèse).
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T
Tercet : strophe de trois vers. (voir p.490)

Thèse : en argumentation, désigne l'idée que l'on défend. (voir p.524)

Tirade : longue réplique dans un dialogue, au théâtre. (voir p.498)

Tonalité : procédés qui provoquent un effet sur le lecteur ou le spectateur (comique, tragique, pathétique, etc.). (voir p.492, 506, 536)

Topos (pluriel : topoï) : motif littéraire ou artistique traditionnel. → le topos de la rencontre amoureuse

Tragédie : genre théâtral qui remonte à l'Antiquité grecque et qui met en scène des personnages de rang élevé aux prises avec un destin funeste.

Tragique : qualifie un texte dans lequel les personnages sont condamnés par la fatalité.

Tragi-comédie : genre théâtral entre la comédie et la tragédie. Puisque la nature du conflit est tragique, les personnages sont nobles, mais le dénouement est heureux. → Le Cid de Pierre Corneille.

Type de phrase : interrogative, injonctive, déclarative ou exclamative. (voir p.456)
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U
Unités (règles des trois unités) : au théâtre, unité d'action, de temps (un jour) et de lieu (Aristote). (voir Andromaque et les règles de la tragédie classique)
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V
Visée : intention, but poursuivi par l'auteur dans une œuvre

Vraisemblance : règle du théâtre classique qui désigne ce qui pourrait exister dans la réalité, ce qui est crédible.

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