1. La bobine reste statique, c'est le stator. Elle est constituée de cuivre, donc d'un matériau conducteur. L'aimant est la partie mobile, le rotor : il tourne grâce à la turbine qui l'entraîne dans ce mouvement de rotation. La variation de champ magnétique entraîne une production d'un courant électrique alternatif.
Remarque : dans les turbo-alternateurs des centrales électriques, les aimants sont remplacés par des électro-aimants (bobines de cuivre parcourues par un courant électrique).
2.
a.
b. Il s'agit de l'effet Joule.
3. Il faudrait dire : avec notre alternateur, 78,5 % de l'énergie mécanique (ou respectivement puissance mécanique) du sportif est convertie en énergie électrique (ou respectivement puissance électrique).
4. Le stockage de l'eau en hauteur constitue un réservoir d'énergie potentielle de pesanteur.
5. La puissance moyenne du cycliste est :
P_\text{cycliste} = \dfrac{624{,}1}{4{,}00} = 156 W
La puissance de l'éolienne avec un rotor de diamètre
100 m (celle développée en 2010 d'après le doc. 2) vaut :
P_\text{éolienne} = 3\,000 kW
= 3{,}000 × 10^6 W
Le nombre de cyclistes
N qui pourrait fournir cette puissance est :
N = \dfrac{P_\text{éolienne}}{P_\text{cycliste}} = \dfrac{3,000 \times 10^6}{156} ≈ 19\,200 cyclistes
Il faudrait environ
19\,200 cyclistes pour pouvoir obtenir la même puissance produite que celle de l'éolienne de 2010.
6. Des problèmes de réchauffement de l'eau du lac en altitude modifiant alors l'écosystème peuvent apparaître avec une destruction partielle de certains organismes du milieu naturel sensibles aux variations de température.
7.
a. La ligne 1 explique que, pour que le pompage se mette en route, il faut que la puissance délivrée par l'éolienne soit supérieure à
3 × 10^6 W.
b.