Dans une lettre adressée à Paul Demeny datée du 15 mai
1871, Arthur Rimbaud écrit : « Le Poète se fait voyant par un long,
immense et raisonné dérèglement de tous les sens. Toutes les
formes d'amour, de souffrance, de folie ; il cherche lui-même,
il épuise en lui tous les poisons, pour n'en garder que les quintessences. » Dans quelle mesure ces propos éclairent-ils votre lecture
des
Cahiers de Douai ? (lisez l'intégralité de la lettre
)