A. Quelle histoire !
B. Qu'elle est belle !

Les mots en gras sont homophones. Que faire pour être sûr de ne pas les confondre ?

A. Ils ont eu quelques histoires.
B. Quel que soit son passé, je lui fais confiance.

Les mots en gras sont homophones. Que faire pour être sûr de ne pas les confondre ?

1. Complétez les phrases suivantes avec : bien que ou quelle que soit la chose que, selon le sens de la phrase.

a. Les filles jouent encore dehors

le soleil soit à son zénith.
b.

tu fasses pour lui, il trouve toujours quelque chose à redire.
c.

tu lui demandes, ta famille sera toujours là pour toi.
d.

nous soyons partis en retard, nous avons été bien placés.
e.

Jacques raconte, il est coupable.
f.

son petit-fils lui parlât fort, le vieillard ne l'entendait pas.
g. Je ne puis accepter cette somme,

 j'en aie bien besoin

2. Remplacez ensuite par : quoique ou quoi que.

a. Les filles jouent encore dehors

le soleil soit à son zénith.
b.

tu fasses pour lui, il trouve toujours quelque chose à redire.
c.

tu lui demandes, ta famille sera toujours là pour toi.
d.

nous soyons partis en retard, nous avons été bien placés.
e.

Jacques raconte, il est coupable.
f.

son petit-fils lui parlât fort, le vieillard ne l'entendait pas.
g. Je ne puis accepter cette somme,

j'en aie bien besoin.

Donnez la classe grammaticale de quelque et quel que (éventuellement accordé) dans les phrases suivantes : adjectif, déterminant indéfini ou adverbe ? Justifiez ainsi leur accord.

1. Quelles que soient tes intentions, moi je ne bougerai pas d'ici.
2. Cette femme ? Je l'ai déjà rencontrée il y a quelques années.
3. Marie a lu quelque cent pages en une heure !
4. Quel que soit le temps, les chalutiers prennent la mer.
5. Il reste quelques morceaux de gâteau : servez-vous.
6. Cet article est paru dans quelque magazine.
7. Elle a eu quatorze ans il y a quelque sept mois.
8. Elle a eu quatorze ans il y a quelques jours.
9. Cette personne est âgée de quelque quatre-vingts ans.
10. Après quelque hésitation, il ouvrit la porte.

✔ Je sais écrire des homophones.

Complétez par : quel(le)(s) ou qu'elle(s), en accordant les formes si nécessaire.

1.

chaussures emportes-tu en vacances ?
2. Sur

voie les enfants arrivent-ils ?
3. Malheureusement, je sais déjà

ne viendra pas.
4.

vienne à la maison, si elle passe dans la région !
5.

sont les derniers films que tu as vus au cinéma ?
6.

chance !
7. Il faut

arrête de raconter n'importe quoi !
8. Voyez avec

grâce et

talent danse cette petite fille !
9. Tu penses

vont repasser à la maison, après les cours ?
10.

exercices est-ce qu'il te reste à faire ?

Employez chaque groupe de mots dans une phrase de votre choix, sans modifier son orthographe.

1. Quelque vérité.
2. Quelque malheur.
3. Quoique  
4. Quels que soient
5. Quelques feuilles.
6. quoi qu'elle.

1. Quel, qu'elle, quelle ou quelles ? Choisissez la forme qui convient.


2. Justifiez votre choix.

Choisissez la forme qui convient : quel, qu'elle ou quelle.

« À

heure partons-nous en vacances demain ?
– Cela dépendra de ta sœur !
– À chaque fois

part, elle se prépare pendant trois heures ! Nous lui rappellerons qu'il n'y a pas

.
–

idée !

femme ne met pas trois heures à se préparer ?
– Moi par exemple, mais

frère ne passe pas son temps à râler contre sa sœur ?
–

mauvaise foi ! »

Complétez les phrases suivantes par l'homophone qui convient.

1. Désirez-vous encore

chose ?
2. Nous viendrons vous chercher à la gare

soit votre heure d'arrivée.
3. Te reste-t-il encore

souvenirs de cette époque ?
4. Mes lunettes doivent bien se trouver

part !
5.

soit la cause de son retard, l'élève n'est pas accepté en classe.
6.

trois mille fans étaient venus accueillir la star à l'aéroport.
7.

soient les efforts que tu auras à fournir, il ne faut surtout pas te décourager.
8. Tu n'aurais pas

euros à me prêter ?
9.

convaincants que soient ses arguments, il a perdu le concours.
10.

trois mille voix lui ont manqué pour gagner l'élection.

✔ Je sais relire un texte écrit.

Identifiez les erreurs portant sur les homophones et corrigez-les.

« Concernant les championnats, c'est s'en a priori que je te dis sa : je pense que tu ne peut pas tous les gagner. Tu n'es pas tout à fait près, quoi que tu te sois bien entrainé, je sais !
– Quand ont veut la coupe, on peux l'avoir. Celui qu'il a gagnée précédemment était un sportif très jeune. L'âge, sa ne veut rien dire. Quant au moral, s'est ce qui fait tout : dès qu'on y croit, on peu gagner la lune.
– Ton entraineur ne c'est pas trompé, tu as la rage de vaincre ! Écoute, peut importe ce que je te dis, donne-toi l'ai moyens de réussir. Si prêt du but, c'est ce qu'il y a de mieux à faire. Et qu'elle choix pourrais-tu faire d'autre.
– Quelle soutien de ta part...
– Je suis maladroit, excuse-moi : quel que soit ma façon de l'exprimer, je crois en toi ! Quoique tu fasses, tu sais très bien que je te soutiendrai toujours. »