Pour les troubadours, la «
fin'amor » (en langue d'oc,
l'amour pur) se différencie du
mariage, qui est guidé par l'intérêt et la convention sociale. Les auteurs de langue d'oïl sont influencés par cette conception de l'amour : c'est l'
amour courtois, qui correspond aux qualités nécessaires à la
cour. (voir
)