Olympe de Gouges - Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

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Grammaire
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Dissertation
Étude thématique 4

L'origine et les fondements de l'inégalité parmi les sexes

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Existe‑t‑il une égalité naturelle entre les sexes ?

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Texte-écho 1
Nicolas de Condorcet, Sur l'admission des femmes au droit de cité, 1790

Les droits des hommes résultent uniquement de ce qu'ils sont des êtres sensibles, susceptibles d'acquérir des idées morales, et de raisonner sur ces idées. Ainsi les femmes ayant ces mêmes qualités, ont nécessairement des droits égaux. Ou aucun individu de l'espèce humaine n'a de véritables droits, ou tous ont les mêmes ; et celui qui vote contre le droit d'un autre, quels que soient sa religion, sa couleur ou son sexe, a dès lors abjuré1 les siens.


1. Renié.
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Texte-écho 2
François Poullain de La Barre, De l'égalité des deux sexes, 1673

Presque tout ce qu'il y a eu de gens qui ont passé pour savants et qui ont parlé des femmes n'ont rien dit à leur avantage : et l'on trouve la conduite des hommes si uniforme à leur endroit1, dans tous les siècles et par toute la terre, qu'il semble qu'ils y sont entrés de concert2, ou bien, comme plusieurs s'imaginent, qu'ils ont été portés à en user de la sorte3 par un instinct secret, c'est‑à‑dire par un ordre général de l'auteur de la nature.

On se le persuade encore davantage en considérant de quelle façon les femmes même supportent leur condition. Elles la regardent comme leur étant naturelle. [...] Cependant cette persuasion comme la plupart de celles que nous avons sur les coutumes et sur les usages, n'est qu'un pur préjugé, que nous formons sur l'apparence des choses faute de les examiner de près, et dont nous nous détromperions si nous pouvions nous donner la peine de remonter jusqu'à la source, et juger en beaucoup de rencontres de ce qui s'est fait autrefois par ce qui se fait aujourd'hui, et des coutumes anciennes par celles que nous voyons s'établir de notre temps. Si on avait suivi cette règle, [...] on aurait reconnu [que les femmes] n'ont été assujetties que par la loi du plus fort, et que ce n'a pas été faute de capacité naturelle ni de mérite qu'elles n'ont point partagé avec nous ce qui élève notre sexe au‑dessus du leur.


1. À leur sujet.
2. D'un commun accord.
3. À se comporter de cette manière
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Guide de lecture

Question 1
Comment l'auteur explique‑t‑il la permanence des inégalités entre les hommes et les femmes, si la nature n'en est pas à l'origine ?


Question 2
Si les facultés sont identiques aux deux sexes, par quel moyen les femmes ont‑elles été soumises ?


Question 3
Comparez les réflexions de Poullain de la Barre avec celles de son contemporain et du député révolutionnaire .
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Texte-écho A
Jean de la Fontaine, « Le Loup et l'Agneau », Fables, Livre I, 1668

La raison du plus fort est toujours la meilleure :
Nous l'allons montrer tout à l'heure1.
Un Agneau se désaltérait
Dans le courant d'une onde pure.
Un Loup survient à jeun, qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
— Qui te rend si hardi de2 troubler mon breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
— Sire, répond l'Agneau, que Votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vas désaltérant3
Dans le courant,
Plus de vingt pas au‑dessous d'Elle ;
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa boisson.
— Tu la troubles, reprit cette bête cruelle,
Et je sais que de moi tu médis4 l'an passé.
— Comment l'aurais‑je fait si5 je n'étais pas né ?
Reprit l'Agneau ; je tète encor ma mère
— Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
— Je n'en ai point.
— C'est donc quelqu'un des tiens :
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos Bergers et vos Chiens.
On me l'a dit : il faut que je me venge.
Là‑dessus, au fond des forêts
Le loup l'emporte et puis le mange,
Sans autre forme de procès.


Livre I, fable 10, orthographe modernisée.

1. Tout de suite, sur‑le‑champ.
2. Assez audacieux, intrépide pour.
3. Que je suis en train de me désaltérer.
4. Tu dis du mal.
5. Puisque.
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Texte-écho B
Pierre Guyomar, Le partisan de l'égalité politique entre les individus ou Problème très important de l'égalité en droits et de l'inégalité en fait, discours prononcé en avril 1793

Tous les jours j'entends dire : « La France a 25 millions d'habitants. » Alors on comprend les femmes. S'agit‑il de calculer le nombre des membres du souverain1 ? Sans façon on fait la soustraction de la moitié de la population. De quel droit, de quelle autorité s'il vous plait ? Si on m'objecte la loi du plus fort, je réponds que cette loi, uniquement2 adoptée, dispense du travail d'un code, et que de pareils législateurs se contredisent en écrasant d'une main le faible, et en empêchant de l'autre main les forts de se déchirer, en vertu de ce beau principe.


Le Partisan de l'égalité politique entre les individus ou Problème très important de l'égalité en droits et de l'inégalité en fait, brochure publiée le 27 avril 1793, orthographe et ponctuation modernisées.

1. Du peuple souverain.
2. Si elle est la seule.
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Guide de lecture



Question 1
Quelle est la morale de cette fable ?

Question 2
L'agneau mérite‑t‑il son sort, selon vous ? Pourquoi ?


Question 3
En quoi cette fable représente‑t‑elle le fonctionnement de la monarchie absolue ?




Question 1
Quelle contradiction Guyomar met‑il en lumière dans cet extrait ?


Question 2
Quelle serait la conséquence, si l'on acceptait la loi du plus fort ?
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Quand la différence des sexes engendre des différences morales

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Texte-écho 3

Les quatre premiers livres de cet ouvrage sont consacrés à l'éducation idéale d'un jeune garçon fictif, Émile. Dans le cinquième et dernier livre, Rousseau s'attache à l'éducation des filles à travers le personnage de Sophie, destinée à devenir l'épouse d'Émile.

En tout ce qui ne tient pas au sexe, la femme est homme : elle a les mêmes organes, les mêmes besoins, les mêmes facultés ; la machine est construite de la même manière, les pièces en sont les mêmes, le jeu de l'une est celui de l'autre, la figure est semblable ; et, sous quelque rapport qu'on les considère, ils ne diffèrent entre eux que du plus au moins. En tout ce qui tient au sexe, la femme et l'homme ont partout des rapports et partout des différences. [...]

Ces rapports et ces différences doivent influer sur le moral1 : cette conséquence est sensible, conforme à l'expérience, et montre la vanité2 des disputes sur la préférence ou l'égalité des sexes. Comme si chacun des deux, allant aux fins de la nature selon sa destination particulière3, n'était pas plus parfait en cela que s'il ressemblait davantage à l'autre ! En ce qu'ils ont de commun, ils sont égaux ; en ce qu'ils ont de différent, ils ne sont pas comparables. Une femme parfaite et un homme parfait ne doivent pas plus se ressembler d'esprit que de visage, et la perfection n'est pas susceptible de plus et de moins.

Dans l'union des sexes chacun concourt également à l'objet commun, mais non pas de la même manière. De cette diversité nait la première différence assignable4 entre les rapports moraux de l'un et de l'autre. L'un doit être actif et fort, l'autre passif et faible : il faut nécessairement que l'un veuille et puisse, il suffit que l'autre résiste peu.

Ce principe établi, il s'ensuit que la femme est faite spécialement pour plaire à l'homme. Si l'homme doit lui plaire à son tour, c'est d'une nécessité moins directe : son mérite est dans sa puissance ; il plait par cela seul qu'il est fort. Ce n'est pas ici la loi de l'amour, j'en conviens ; mais c'est celle de la nature, antérieure à l'amour même. [...]

La ruse est un talent naturel au sexe [féminin]. Cette adresse particulière donnée au sexe est un dédommagement très équitable de la force qu'il a en moins ; sans quoi la femme ne serait pas la compagne de l'homme ; elle serait son esclave : c'est par cette supériorité de talent qu'elle se maintient son égale, et qu'elle le gouverne en lui obéissant. La femme a tout contre elle, nos défauts, sa timidité, sa faiblesse, elle n'a pour elle que son art et sa beauté. N'est‑il pas juste qu'elle cultive l'un et l'autre ?
Jean‑Jacques Rousseau
Émile ou de l'Éducation, 1762

1. Le comportement, la psychologie (par opposition au physique).
2. L'inutilité, la futilité.
3. Obéissant à ce que la nature lui a spécifiquement réservé.
4. Que l'on peut attribuer.
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Texte-écho 4

Dans ce texte adressé au marquis de Champcenetz, l'autrice revient sur les principes éducatifs énoncés par Rousseau dans l' Émile.

J'ose faire à Rousseau un [...] reproche. Il ne veut pas que les parents ou instituteurs d'un jeune homme prennent sur eux de plier son caractère au joug1 de la société, d'après les idées qu'ils peuvent avoir de l'avantage qui en résulterait pour lui, et il veut qu'on plie d'avance au joug la jeune femme. Or, les parents ont ce droit, ou ils ne l'ont pas. S'il leur est permis d'agir selon les convenances, telles qu'ils le conçoivent, ils le peuvent à l'égard du jeune homme comme de la jeune femme, dont les forces et les facultés, ou plutôt la faiblesse et les besoins, sont si semblables à leur entrée dans la vie, qu'il n'est pas possible de croire qu'ils y apportent des privilèges différents. [...]

Quoi que je fasse, je laisserai mon fils et ma fille libres comme Émile,2 d'après les principes sur lesquels vous établissez sa liberté, ou, me croyant en droit d'user de mon expérience et de l'autorité que me donnent sur mes enfants ma tendresse et leurs besoins, je les accoutumerai tous deux, comme on y accoutumait Sophie, avec adresse et douceur, aux entraves que ni l'un ni l'autre ne pourra toujours éviter.
Isabelle de Charrière
Courte réplique à l'auteur d'une longue réponse, par Mme la baronne de..., 1789

1. À la contrainte.
2. Émile et Sophie sont les protagonistes du texte de Rousseau ( introduction du ).
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Guide de lecture



Question 1
 a) Selon Rousseau, quelle égalité existe‑t‑il entre l'homme et la femme ?

b) En quoi diffèrent‑ils ?

Question 2
 a) Quels attributs ou qualités appartiennent naturellement à l'homme ?

b) Et à la femme ?


Question 3
 a) La ruse est‑elle une qualité ou un défaut selon Rousseau ?

b) Pourquoi est‑elle spécifiquement féminine selon lui ?


Question 4
 Que pense Gouges de la ruse des femmes ? Expliquez les divergences entre Rousseau et elle en vous référant à .




Question 5
 Que reproche Isabelle de Charrière à Rousseau ? Précisez votre réponse en lisant dans lequel Rousseau explique quelle éducation il préconise pour développer les qualités naturellement féminines.
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Texte-écho C
Jean‑Jacques Rousseau, Émile ou De l'éducation

Dans le cinquième et dernier livre de l'Émile, Rousseau s'intéresse plus spécifiquement à l'éducation que doivent recevoir les jeunes filles.

Par la même raison qu'elles ont ou doivent avoir peu de liberté, elles portent à l'excès celle qu'on leur laisse. Extrêmes en tout, elles se livrent à leurs jeux avec plus d'emportement encore que les garçons : c'est le second des inconvénients dont je viens de parler. Cet emportement doit être modéré, car il est la cause de plusieurs vices particuliers aux femmes, comme, entre autres, le caprice de l'engouement, par lequel une femme se transporte1 aujourd'hui pour tel objet qu'elle ne regardera pas demain. L'inconstance des gouts leur est aussi funeste que leur excès, et l'un et l'autre leur vient de la même source. Ne leur ôtez pas la gaieté, les rires, le bruit, les folâtres jeux, mais empêchez qu'elles ne se rassasient de l'un pour courir à l'autre. Ne souffrez pas2 qu'un seul instant dans leur vie elles ne connaissent plus de frein. Accoutumez‑les à se voir interrompre au milieu de leurs jeux, et ramener à d'autres soins3 sans murmurer. La seule habitude suffit encore en ceci, parce qu'elle ne fait que seconder la nature.

Il résulte de cette contrainte habituelle une docilité dont les femmes ont besoin toute leur vie, puisqu'elles ne cessent jamais d'être assujetties4 ou à un homme, ou aux jugements des hommes, et qu'il ne leur est jamais permis de se mettre au‑dessus de ces jugements. La première et la plus importante qualité d'une femme est la douceur : faite pour obéir à un être aussi imparfait que l'homme, souvent si plein de vices, et toujours si plein de défauts, elle doit apprendre de bonne heure à souffrir5 même l'injustice et à supporter les torts d'un mari sans se plaindre. Ce n'est pas pour lui, c'est pour elle qu'elle doit être douce. L'aigreur et l'opiniâtreté6 des femmes ne font jamais qu'augmenter leurs maux et les mauvais procédés des maris ; ils sentent que ce n'est pas avec ces armes‑là qu'elles doivent les vaincre. Le ciel ne les fit point insinuantes et persuasives pour devenir acariâtres7 ; il ne les fit point faibles pour être impérieuses8 ; il ne leur donna point une voix si douce pour dire des injures ; il ne leur fit point des traits si délicats pour les défigurer par la colère. Quand elles se fâchent, elle s'oublient : elles ont souvent raison de se plaindre, mais elles ont toujours tort de gronder. Chacun doit garder le ton de son sexe. Un mari trop doux peut rendre une femme impertinente ; mais, à moins qu'un homme ne soit un monstre, la douceur d'une femme le ramène, et triomphe de lui tôt ou tard.
Jean‑Jacques Rousseau
Émile ou De l'éducation, Livre 5, 1762, orthographe et syntaxe modernisées.

1. Se passionne.
2. Ne permettez pas.
3. Occupations.
4. Soumises.
5. Supporter, tolérer.
6. Obstination, entêtement.
7. D'une humeur fâcheuse, désagréable.
8. Autoritaires.
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Des différences biologiques aux inégalités sociales

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Texte-écho 5
Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe, 1949

Le Deuxième Sexe est un ouvrage de référence sur la condition et la volonté d'émancipation des femmes. Dans cet extrait, Simone de Beauvoir revient sur la manière dont l'éducation conditionne les comportements des garçons comme des filles.

Ainsi, la passivité qui caractérisera essentiellement la femme « féminine » est un trait qui se développe en elle dès ses premières années. Mais il est faux de prétendre que c'est là une donnée biologique ; en vérité, c'est un destin qui lui est imposé par ses éducateurs et par la société. L'immense chance du garçon, c'est que sa manière d'exister pour autrui l'encourage à se poser pour soi. Il fait l'apprentissage de son existence comme libre mouvement vers le monde ; il rivalise de dureté et d'indépendance avec les autres garçons, il méprise les filles. Grimpant aux arbres, se battant avec des camarades, les affrontant dans des jeux violents, il saisit son corps comme un moyen de dominer la nature et un instrument de combat ; il s'enorgueillit de ses muscles comme de son sexe ; à travers jeux, sports, luttes, défis, épreuves, il trouve un emploi équilibré de ses forces ; en même temps, il connaît les leçons sévères de la violence ; il apprend à encaisser les coups, à mépriser la douleur, à refuser les larmes du premier âge. Il entreprend, il invente, il ose. [...]

Au contraire, [on apprend à la femme] que pour plaire il faut chercher à plaire, il faut se faire objet ; elle doit donc renoncer à son autonomie. On la traite comme une poupée vivante et on lui refuse la liberté ; ainsi se noue un cercle vicieux ; car moins elle exercera sa liberté pour comprendre, saisir et découvrir le monde qui l'entoure, moins elle trouvera en lui de ressources, moins elle osera s'affirmer comme sujet ; si on l'y encourageait, elle pourrait manifester la même exubérance vivante, la même curiosité, le même esprit d'initiative, la même hardiesse1 qu'un garçon.


1. Assurance, audace.

© Éditions Gallimard

On ne naît pas femme : on le devient. Aucun destin biologique, psychique, économique ne définit la figure que revêt au sein de la société la femelle humaine ; c'est l'ensemble de la civilisation qui élabore ce produit intermédiaire entre le mâle et le castrat qu'on qualifie de féminin.
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Guide de lecture

Question 1
 Après avoir lu le , expliquez avec vos propres mots l'affirmation de Beauvoir mise en gras dans la citation ci‑dessus.


Question 2
En quoi Beauvoir s'oppose‑t‑elle à Rousseau lorsqu'elle affirme qu'« on ne naît pas femme » ?

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Un premier et un deuxième sexe

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Consigne

 Lisez de courts extraits de textes religieux, philosophiques et scientifiques de l'Antiquité au XVIIIe siècle. En quoi ont‑ils participé à construire l'inégalité ou l'égalité entre les sexes ?
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