Textes | Images correspondantes | |||
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1 | Au IVe siècle avant notre ère, Démocrite émet l'hypothèse que la matière est un ensemble formé de petits grains incassables. En grec ancien, átomos signifie « que l'on ne peut pas casser ». Dans ce modèle, les atomes sont considérés comme éternels, pleins et possèdent chacun leur propre forme qui peut être très variée. | |||
2 | Il faut attendre 1805 pour que la théorie de Démocrite soit reprise par John Dalton, qui modélise alors l'atome comme une sphère, pleine, incassable et électriquement neutre. | |||
3 | En 1875, William Crookes réalise une expérience qui prouve que des particules à l'intérieur des atomes peuvent être extraites et qu'elles sont porteuses d'une charge électrique négative : les électrons. Suite à cette découverte, Joseph John Thomson propose en 1905 un nouveau modèle, le plum pudding ! Dans ce modèle, l'atome est sphérique, plein et électriquement neutre ; cette sphère, chargée positivement, contient des électrons, chargés négativement. | |||
4 | En 1911, Ernest Rutherford met en évidence expérimentalement que l'essentiel de l'atome est vide et que toute sa masse se concentre en son centre. Il distingue alors deux parties :
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5 | Dans la décennie qui suit, de nombreux laboratoires à travers le monde réalisent des expériences mettant en évidence l'existence de particules constituant le noyau, les nucléons. Ils en distinguent deux variétés :
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Numéro atomique | |
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Nombre de protons | |
Nombre de neutrons | |
Nombre de nucléons | |
Nombre d'électrons |
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j'ai une idée !
Oups, une coquille