Une compression destructive, non destructive, aucune compression ? Les professionnels du son vous le diront tous : la compression destructive est une calamité. En effet, pourquoi se fatiguer à travailler le mix d'un morceau en finesse, l'échantillonner en 24 bits / 96 kHz, faire attention à la qualité du son dans les moindres détails, si c'est pour finalement utiliser une compression destructive et ainsi perdre tous les détails du morceau ? Et pourtant, la télévision et la radio numériques, de même que la transmission de médias sur Internet, utilisent la compression destructive pour permettre d'envoyer le flux d'informations en temps réel.