On ne badine pas avec l’amour

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Introduction

La pièce en quelques mots

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Le passage de l'adolescence à l'âge adulte

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  • À peine sortis de l'adolescence, les personnages découvrent la complexité des rapports amoureux : comment discerner ses sentiments, les accepter, les exprimer ?
  • Quoiqu'ils entrent dans la vie adulte, Camille et Perdican se comportent encore comme des enfants, ils aiment jouer avec la vie et les sentiments.
  • C'est aussi la question de l'engagement qui est en jeu : la pièce fait réfléchir à la conséquence de nos actes et à la responsabilité engagée par notre parole.
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Placeholder pour Photographie de la mise en scène de Jean-Pierre VincentPhotographie de la mise en scène de Jean-Pierre Vincent
Mise en scène de Jean-Pierre Vincent, Théâtre de Nanterre-Amandiers, 1993, avec Emmanuelle Béart (Camille) et Pascal Rambert (Perdican).
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La place de l'homme et de la femme dans la société

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  • Des inégalités de sexe apparaissent dans la pièce. Elles s'expliquent par des éducations diamétralement opposées : Camille a reçu une formation complète mais ne connaît pas la vie en dehors du couvent. Perdican, quant à lui, a fait ses études à Paris et a déjà eu des relations amoureuses.
  • La pièce aborde également les inégalités sociales car Rosette et Camille ne sont pas égales devant le mariage. La société dénature‐t‐elle l'amour ?
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Une quête d'absolu

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  • La pièce met en scène une quête d'absolu, un idéal de pureté. Faut‐il faire des compromis, quitte à renoncer à ses exigences ?
  • C'est aussi la question de la possibilité d'être heureux qui se pose : à trop vouloir se protéger, on peut passer à côté du bonheur.
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Le bonheur ! est-ce l'absence du désir ? Est-ce de sentir tous les atomes de son être en contact avec d'autres ? Est-ce dans la pensée, dans les sens, dans le cœur que se trouve le bonheur ?
Alfred de Musset, « Lettre à George Sand », 15 juin 1834, à Paris.
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