Choisissez l'un des péchés capitaux (orgueil, avarice, envie, paresse, colère, gourmandise) et faites le portrait satirique d'un personnage qui le condamne en public mais y succombe en privé.

Écrivez des bouts-rimés : autour d'un thème donné par votre professeur, cherchez deux fois deux mots qui riment et dont l'association est amusante. Écrivez à partir d'eux une courte épigramme et sa chute satirique.

Texte 5.

Écrivez une fable moderne en prose qui dénonce l'hypocrisie en la ridiculisant. Vous pouvez partir des titres suivants :

1. Élections dans la jungle.
2. Roi Lion et le réchauffement climatique.
3. Le salaire du Lion et celui de la Lionne.

Écho au texte 1.

Rédigez une épigramme sur un flatteur dont les compliments agacent plus qu'ils ne séduisent.

Quels sont les différents types de textes poétiques présentés dans le chapitre ? Proposez un bilan synthétique des caractéristiques de chaque forme.

Choisissez quelques vers dans l'ensemble des textes de la séquence et expliquez en un paragraphe argumenté pourquoi ils représentent bien ce qu'est une satire.

En vous appuyant sur les textes du chapitre et du groupement complémentaire, expliquez les différents rôles des références animalières dans la satire.

Faites une sélection des vers les plus satiriques sur les faux-semblants. En vous appuyant sur celle-ci, réalisez le portrait satirique d'un hypocrite de votre choix.

Voici ce qu'écrit Molière dans la préface de sa pièce Tartuffe : « Les plus beaux traits d'une sérieuse morale sont moins puissants, le plus souvent, que ceux de la satire […]. On souffre aisément des répréhensions ; mais on ne souffre point la raillerie. On veut bien être méchant ; mais on ne veut point être ridicule. » Qu'en pensez-vous ?

La satire de l'hypocrisie vous paraît-elle toujours d'actualité ? Justifiez par des références précises.

« Lorsque c'est une espèce d'hommes que l'on peint, comme l'avare, le jaloux, l'hypocrite, la prude, la coquette, ce n'est plus un portrait, c'est un caractère ; et c'est là ce qui distingue la satire permise de la satire qui ne l'est pas », écrit Marmontel, homme des Lumières. Êtes-vous d'accord avec son propos ?

Texte 6.

Pensez-vous que tant que l'on recherche son bonheur « Tout ce qui plaît est bon ; tout devient légitime » ?