1. Comparez la proportion de personnes qui ne sont pas allées au commissariat ou à la gendarmerie dans le cas des cambriolages et dans le cas des violences domestiques.
2. Les victimes de tentatives de cambriolage portent-elles souvent plainte ? Comment peut‑on l'expliquer ?
3. Selon vous, pourquoi le taux de plainte est‑il plus faible pour les victimes de violences domestiques ?