L'idéal pacifiste. Le caractère exceptionnellement meurtrier du conflit nourrit le
pacifisme. De nombreux artistes et intellectuels, parfois eux-même anciens combattants, expriment leur dégoût de la guerre et leur souhait qu'elle soit la « der des ders ».
Des efforts politiques. Le pacifisme se traduit également dans le domaine politique.
réussit par exemple à rétablir des relations diplomatiques entre la France et l'Allemagne (
). En 1928, par le pacte Briand‑Kellogg, soixante‑trois dirigeants s'engagent à ne plus avoir recours à la guerre.
Des résultats mitigés. Les pacifistes ne parviennent pas à imposer aux États le principe du désarmement et ne peuvent s'opposer à la montée d'un esprit de revanche belliciste, aggravé par le phénomène de
brutalisation. C'est particulièrement le cas en Italie et en Allemagne, où les traités de paix ont laissé un profond sentiment de frustration.