1. Pourquoi, selon Raphael Lemkin, le mot « génocide » est‑il préférable à l'expression « crime contre l'humanité » ?
2. Quel est, selon Raphael Lemkin, le moyen de punir ces crimes de masse ?
3. Pourquoi est‑il important de prendre en compte, quand on fait l'histoire d'une idée, ce qu'Annette Becker appelle « les altérations du souvenir » ?
4. Quelle est la mémoire du génocide des Arméniens aujourd'hui dans le monde ? Pourquoi, selon vous, n'est‑il pas reconnu par la Turquie ?