« On est parties, onze femmes de STMicroelectronics toutes syndiquées à la CGT, pour faire reconnaître la discrimination dont on est victimes parce qu'on est des femmes [...] en septembre 2015. Donc voilà, il faut se rendre compte de la longueur de cette bataille. [...] En septembre prochain [2024], on a rendez-vous avec le juge pour établir les rattrapages de salaires.
Je me suis rendu compte que pour un travail égal, on avait déjà facilement 100 euros de salaires de différence par mois. J'ai commencé à remonter le point au niveau du syndicat et à ce moment-là, on a commencé à [...] se comparer à nos homologues hommes avec postes et diplômes équivalents. »