1. Commencer
au brouillon, en dessinant le « tronc », qui conduit à un premier « nœud » ou ancêtre commun.
2. Dessiner
une première branche, à gauche par exemple, qui conduit à l'extra-groupe.
3. À partir du premier ancêtre commun,
dessiner progressivement des branches et des nœuds pour :
- placer les taxons en haut à l'extrémité des branches ;
- placer progressivement, de gauche à droite, des taxons ayant de plus en plus de caractères dérivés.
4. Une fois l'arbre construit, il faut y placer les
innovations évolutives. Celles-ci seront représentées par des traits sur les branches et non pas sur les nœuds ! Il faut les placer en tenant compte des taxons qui les possèdent et aussi tenir compte du
principe de parcimonie : l'arbre phylogénétique le plus vraisemblable est celui qui possède le moins d'innovations évolutives.
5. Reproduire ensuite cet arbre
au propre, à la règle, en alignant les taxons en haut et en ajoutant un titre.
Exemple d'un arbre phylogénétique des vertébrés.