Comme dans le cas d'une

 question problématisée

, il faut :

• Définir les termes du sujet
• Délimiter l'espace concerné
• Lister ses idées au brouillon
• Dégager une problématique, qui pourra servir de titre

Parmi les idées listées, gardez les plus pertinentes. On ne peut pas tout conserver. Selon que le phénomène à représenter concerne un espace particulier (par exemple, « Fukushima » à propos des risques) ou non (« Les sociétés face aux risques »), les informations conservées sont plus ou moins précises.

Vous pouvez accompagner votre carte mentale d'une courte légende qui explique le sens des flèches ou des couleurs.

Des formes et couleurs doivent être choisies. Par exemple, le phénomène central peut être encadré, tandis que les autres éléments de la carte mentale seront entourés. Les causes peuvent être entourées en noir, les conséquences positives en vert et les conséquences négatives en rouge. Les flèches reliant les éléments entre eux peuvent avoir des verbes. Une flèche en pointillé indique un processus discontinu, indirect (par exemple un séisme PEUT entraîner un tsunami ; mais un séisme n'entraîne pas toujours un tsunami). Les règles sont bien plus souples pour une carte mentale que pour un croquis. L'essentiel est d'être clair !

• Réalisez la carte mentale en faisant attention à la place que prend chaque élément. Parfois il faudra recommencer si cela déborde ! Conseil : prenez une feuille sur laquelle vous n'avez encore rien écrit, pour ne pas avoir à tout recopier en cas d'erreur.
• Gardez une place sous la carte mentale ou à côté pour faire une petite légende expliquant les couleurs et les formes.
• Écrivez le titre en haut. Il doit être problématisé.
• Relisez la carte mentale en prenant garde à l'orthographe.