PLINE À TRAJAN. – Pendant que je vérifiais les
dépenses de Byzance, qui sont énormes, on m'a signalé,
maître, que chaque année elle t'envoie en hommage un
député avec un décret1
et 12 000 sesterces. Connaissant
tes intentions, j'ai pensé qu'il fallait t'envoyer le décret
mais sans le député : ainsi, la dépense est réduite mais
l'hommage officiel est rendu. [...]
TRAJAN À PLINE. – Mon très cher Pline, tu as eu
tout à fait raison [...].
Texte qui rend hommage à l'empereur.