Henrik Ibsen, Une maison de poupée, 1879, Le Livre de Poche, trad. de Marc Auchet.

À travers ce drame conjugal, Ibsen évoque la société norvégienne du XIX^e siècle et plus particulièrement la condition de la femme, souvent reléguée au rang de poupée.


Imaginez et réalisez l'affiche de la prochaine mise en scène de cette pièce.

Annie Ernaux, La femme gelée, 1981, Éditions Gallimard, coll. Folio.

Ce récit fait le portrait d'une femme qui se rend compte qu'elle s'est laissée peu à peu enfermer dans son rôle d'épouse et de mère.


Choisissez dans le récit le passage qui vous a le plus marqué(e), en lien avec l'image qui est proposée de la femme. Vous justifierez votre choix.

Pénélope Bagieu, Culottées, tomes 1 et 2, 2016-2017, Éditions Gallimard, coll. Bande Dessinée.

Dans les deux tomes de cette bande-dessinée, Pénélope Bagieu dresse le portrait de femmes qui se sont dressées contre les préjugés et les normes sexistes.


À la manière de Pénélope Bagieu, imaginez les scènes qui raconteraient la vie de Madame Sorbin ou d'Arthénice. Éventuellement, dessinez-les.

Ahmed Madani, Illumination(s), suivi de F(l)ammes, 2017, Éditions Actes Sud, coll. Actes Sud-Papiers.

Ces deux pièces font entendre la voix d'individus isolés, exilés, marginalisés.


Écrivez une lettre à Ahmed Madani dans laquelle vous lui ferez des propositions de mise en scène pour ses deux pièces.

Barbara Métais-Chastanier, Il n'y a pas de certitude, suivi de La Femme® n'existe pas, 2018, PublieNet, coll. Thtr.

Ces deux monologues abordent la question des violences faites aux femmes.


La Femme® n'existe pas est une réécriture très libre de La Colonie. Comment Barbara Métais-Chastanier réussit-elle à moderniser le texte de Marivaux ?