Les firmes transnationales (FTN) représentent 25 % de l'économie mondiale. Elles sont des acteurs centraux de la mondialisation. Elles investissent dans l'innovation mais leurs activités participent à la dégradation de l'environnement. Elles sont présentes
dans tous les domaines : l'industrie (Toyota), la finance (Goldman Sachs), le luxe (LVMH), la culture (Disney), etc.
Les États participent au processus de mondialisation, en consolidant, ou en démantelant, les accords de libre-échange (OMC à l'échelle mondiale, CETA entre lʼUE et le Canada, etc.) et en menant des politiques publiques visant à attirer les investisseurs et les FTN sur leur territoire (en aménageant par exemple des
zones franches).
Les organisations internationales organisent les échanges. Les zones de libre-échange et/ou les unions douanières, comme l'Union européenne, permettent de multiplier les flux. Elles sont souvent critiquées par les
ONG, comme WWF ou Oxfam, qui pointent les conséquences négatives de la mondialisation sur
les plans politiques, sociaux et environnementaux
les conséquences négatives de la mondialisation sur les plans politique, social et environnemental
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