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Parcours associé

Résonances pour préparer la dissertation

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Partir ailleurs

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Question 1

a) Relevez les évocations du temps (passé, présent ou futur) dans les textes du parcours associé.
b) Comment chacun des poètes se positionne-t-il face au temps qui passe ?
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Question 2

a) Comment chacun des poètes envisage-t-il la mort ?
b) Comparez avec la vision de la mort proposée dans « Le Dormeur du val » (p. 78) et « Ophélie » (p. 49).
c) Quel lien peut-on faire avec l'idée rimbaldienne de départ vers un ailleurs () ?
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Car le mot qui sera à la fin
du poème, plus que le premier sera proche
de ta mort, qui ne s'arrête pas en chemin.
Philippe Jaccottet, « Sois tranquille, cela viendra », 1953.
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J'ai effacé le Temps
Je n'ai plus d'âge
Je suis au présent
Je vise l'inexploré !
Andrée Chedid, « Le Temps », 2003.
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La mort est un soldat qui vise et qui délivre
Le témoin révolté qui parlerait demain…
Marceline Desbordes-Valmore, « Dans la rue », 1834.
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S'émanciper de soi

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Question 1

a) Écoutez sur la poésie.

b) Quelles fonctions de la poésie sont ici présentées ? Quel rapport instaure-t-elle par rapport au langage ? au monde ? à soi ?
c) Quels poèmes du parcours et du recueil vous semblent remplir ces différentes fonctions de la poésie ? Justifiez en vous appuyant sur des passages précis.
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Pourtant, j'étais fort mauvais poète.
Je ne savais pas aller jusqu'au bout.
Blaise Cendrars, « La Prose du Transsibérien... », 1913.
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Des désirs révolutionnaires ?

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Question 1

a) Définissez ce qu'est un poème engagé.
b) Quels poèmes du parcours incitent à la révolte ?
c) Quels autres proposent une autre réaction, et laquelle ? Justifiez.
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Question 2

a) Relisez « Les Effarés » (p. 67). Quel lien peut-on faire avec le poème « Dans la rue » () ?
b) Commentez l'emploi du pluriel dans les deux citations ci-dessous, ainsi que dans « Morts de Quatre-vingt-douze... » (p. 70). Quel est l'effet ainsi produit ?
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Dieu ! bénissez-les tous, ils étaient tous sans armes !
Marceline Desbordes-Valmore, « Dans la rue », 1834.
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Nous nous sentions Hommes ! Nous étions pâles,
Sire, nous étions soûls de terribles espoirs.
Arthur Rimbaud, « Le Forgeron », 1870.
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Le pouvoir libérateur de l'écriture

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Question 1

a) Quels poèmes du parcours évoquent l'acte d'écriture poétique ?
b) Quel rôle se donne le poète dans ces poèmes ?
c) Quel espace l'acte d'écriture permet-il de créer ?
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Question 2

Comment « Le Buffet » (p. 85) et « Ma Bohème » (p. 86) montrent-ils que l'écriture poétique ouvre la possibilité d'un nouvel univers ?
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Et j'ouvre et je donne mon aile
Pour alléger leur épaule et mon chant
Pour délivrer leur âme à travers champs.
Marie Noël, « Chant de la Merci », 1930.
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Ni la clarté déserte de ma lampe
Sur le vide papier que la blancheur défend...
Stéphane Mallarmé, « Brise marine », 1865.

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