Marie-Geneviève-Charlotte Thiroux d'Arconville,
Traité d'ostéologie, 1759.
Anatomiste, Madame d'Arconville traduit l'œuvre scientifique d'Alexander Monro, célèbre anatomiste britannique. Elle y ajoute des planches de squelettes : le corps humain, de plus en plus étudié, est mieux connu, ce qui permet de rapides progrès médicaux.