1.
Quelle scène de la pièce de Jean Anouilh vous a le plus marqué(e) ? Montrez-vous précis(e) par rapport à ce que vous avez ressenti et citez le texte.
2.
« Les gestes vains sont des sottises » ( Ismène, dans
Antigone de Sophocle,
).
D'après votre connaissance de la pièce d'Anouilh et du contexte d'écriture, expliquez en quoi, pour Antigone, le geste désespéré d'enterrer son frère
n'était ni vain ni une sottise.
3.
À votre avis, en quoi le mythe d'Antigone peut-il encore trouver une résonance dans le monde d'aujourd'hui ?