À partir d'un même fait, en fonction du public ciblé, chaque média fait le choix de mettre en avant un aspect particulier de l'information. Pour le
Dauphiné libéré, c'est la perte de la clientèle qui inquiète le journaliste lors de la fermeture des frontières (
), alors que pour les médias britanniques, relayés dans
Courrier international, cette mesure gâche les vacances de nombreux Anglais (
). Le traitement de l'information laisse toujours place à un certain degré de subjectivité (
). Aucun journaliste ne perçoit un fait de la même manière en raison de sa propre condition géographique, culturelle, sociale, etc. L'information relayée peut néanmoins être fiable et les faits peuvent être vérifiés.